Synagogues Ben Néoral, | Rue Médée. |
Chaloum Lebar | Rue de Dijon |
Gugenheim | Impasse Boutin. |
Hara | Rue Scipion. |
Jaïs | Rue Scipion |
Kaoua | Allée des Mûriers. |
Serfati, | Rue Sainte. |
Grand Temple | Place Rabbin Bloch. |
Consistoire | 11, Rue Bab-el-Oued. |
samedi 5 décembre 2009
Les synagogues à Alger
“Chronique des Communautés Juives
d’Algérie ...aujourd’hui disparues’’
Cher(e) Ami(e)
L’Association Moriel, dont le but est la sauvegarde de la Mémoire et des traditions des Juifs d’Algérie, est heureuse de vous annoncer la prochaine parution d’un livre (prévu pour la fin de l’année 2009)
Extrait du Sommaire:
• Préface, Me J.C. Benichou; • Introduction générale: Prof. A. Bensoussan - Fragments de mémoire; 2000 ans d’existence; Démographie; Cartographie de l’Algérie avant 1962; Evolution du peuplement juif dans les villes d’Algérie • CHRON IQUE DE S CO MMUNAUTE S: Avant-propos: S. Darmon; de L’Oranie au Constantinois en passant par l’Algérois et sans oublier les territoires du Sud et le Sahara. • STRUCTURE ET ORGAN ISATATION DE S CO MMUNAUTE S: De l’époque ottomane à l’Indépendance (1962), par le Dr David Cohen - Moriel-Israel. • EVENE MENT S HISTORTOR IQUE S, POL ITIQUE S ET CULTUREL CULTUREL S (1830-1960). • LA MUSIQUE ARA BO-JUDEO -ANDALOU SE
• L’APRE S 1962 • L’EXODE . • LE S JUIFS D’ALGER IE et ISRAEL
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
BULLET IN DE SOU SCR IPTION A RE MPLIR ET A RETOURNER RETOURNER A MOR IEL
Je soussigné(e) .............................................................. Adresse ........................................................................
C
ode Postal ............................................ Tél. ................................................... Fax ...........................................
E
mail ......................................................................................................
vous commande .................... exemplaire(s) au prix exceptionnel de 75 shekels ou 18 euros l’unité
(port compris).
Je vous joins un chèque de la somme de .............................. (shekels) / (euros) libellé au nom de “Moriel”
D
ate ........................................................................................ Signature ..........................................................
Prière d’imprimer et de remplir le bon de souscription et de nous le retourner à:
CHRONIQUEDES COMMUNAUTES JUIVESD’ALGERIE...AUJOURD’HUI DISPARUESMEMOIRE ET TRADITIONSDU JUDAISME D’ALGERIE
הירי׳גלא ידוהי תשרומ
Mémoire et Tra diti on
des Juifs d’Algérie
ISRAEL
MORIEL - B.P. 2583 -
42124 Netanya
Me Jean-Charles Benichou 09-8602060
Julien Zénouda Tél. 050-9418890
email: zenoudas@netvision.net.il
F
RANCE
PARIS:
S
ylvain Zenouda
8, rue Riesner
75012 Paris
email: behemet@free.fr
MARSEILL E:
Emile Fareau
72, av. de Toulon
13006 Marseille
email: emile.fareau@numericable.fr
EN SOUSCRIPTION
PARUTION FIN 2009
Nous vous proposons d’acquérir le livre sous forme de souscription au prix exceptionnel (jusqu’au 15.1.2010) de 75 shekels ou 18 euros (y compris frais de port).
Le marché de Chartres
.....J’avais trois lieux de vie : notre maison, qui était située au pied du Télemly, dans cette rue Danton où s’ouvrait la grille supérieure de ce qu’on appelait pompeusement le Palais de l’Université, et donc installée dans le chic et le verbe haut ; nos synagogues qui gravitaient autour et dans la Casbah ; et enfin le lycée, qui fut pour moi d’abord Gautier, puis Bugeaud, où j’appris à accéder à la culture, à me forger un esprit français (et critique), et aussi à me séparer, sans me couper tout à fait, de la civilisation de mes parents. Qui, dans l’intimité, parlaient encore arabe et n’avaient rien oublié ou renié de ce passé judéo-berbéro-arabe qui composait naguère la vivifiante Algérie. Alors, quand je sortais de mes deux heures de cours au Grand Lycée, le samedi matin, j’allais à la synagogue en remontant la rampe derrière Bugeaud qui me menait au jardin Marengo, et de là, descendant en douceur car c’était pour moi jour de Chabbat et de pas lents, j’atteignais la rue Randon et cette place du grand-rabbin Abraham Bloch où trônait la majestueuse architecture du Grand-Temple, avec un dôme altier comme je n’en vis qu’à Constantinople. Mon père était déjà là, depuis l’aurore, car il était homme de piété et de prière, alternant avec le père Bittoun, qui entamait toujours seul la prière de Hannah, les versets des psaumes. J’arrivais, en fait, juste pour la ‘Amida, ou sur la fin, et ne manquais donc jamais la lecture de la paracha, que nous administrait la voix de stentor du rabbin Layani, qui balançait toujours ses larges épaules de droite et de gauche sur ses pieds claudicants en scandant la parole divine. Le moment clé, à mes yeux, était ensuite le Moussaf s’achevant sur la bénédiction des Cohanim : là, mon père soulevait son vaste talit et en recouvrait tout mon corps ; mais j’étais parfois jaloux des voisins de stalles qui se précipitaient sous ses mains bénissantes – mon oncle Coco, le peintre Attias, l’inspecteur Mamane, voire m’sieur Staouchrène (comme on l’appelait), que sais-je encore ? – afin de recevoir, comme une eau lustrale, un pan de sa piété et de ce ’hessed qui fut la vertu première d’Abraham Abinou. Voilà, nous étions purs quand mon père, sur la phrase terminale « et moi je vous bénirai », relevait son immense châle de laine et nous faisait remonter à la surface. Chabbat Chalom lékoulam, Le’h besim’ha, la paix et la joie pour tous, et nous voilà partis sur les trois kilomètres qui, de la Lyre aux tournants Rovigo, et de la rue Dupuch au chemin des Aqueducs, nous mèneraient enfin chez nous, ce Foyer des Mutilés qui fut construit en 1930 pour abriter les anciens Poilus et Zouaves que la Grande Guerre avait marqués dans leur chair.
Or ce n’est pas de cela que je voulais parler, mais du marché de Chartres. Le samedi après-midi, invariablement, nous changions de lieu de prière et mon père me menait rue Sainte, ce très joli oratoire avec ses lampes à huile accrochées au plafond et ses faïences vernissées, auquel on accédait en montant un étroit escalier, et qui s’ouvrait sur l’assourdissant marché de Chartres – tout comme le Grand-Temple donnait sur le tonitruant marché Randon. La prière s’accommodait fort bien de cette rumeur mercantile, car notre ferveur était bruyante et gesticulante. C’est là qu’officiait le samedi le rabbin Zabulon Sebban, que papa avait connu enfant prodige que l’on hissait sur une chaise pour chanter de sa voix d’ange les versets de Moïse, plus tard remplacé par le rabbin Achouche (dont le fils me précéda dans le cœur de Nelly Bensaïd, cette belle Juive qui me fila entre les doigts). Au Temple de la rue Sainte, la bien nommée, nous faisions min’ha et séouda shlishi en mangeant des cacahuètes, pour finir par ‘arbit et la havdala, et nous écoutions attentivement le dvar Torah de m’sieur Cohen-Bacri qui, sans être rabbin, en connaissait un brin. J’aimais ce rituel, la richesse de notre culte, nos promenades à travers toute la ville, le front de mer sabbatique, et nos synagogues. Mais nous voilà maintenant au marché de Chartres qui, toute la semaine, ouvrait ses portes — et d’ailleurs il n’y en avait pas sur cette esplanade offerte aux quatre vents où chacun dressait son établi ou son stand sans les chipoteries administratives d’aujourd’hui. Qui avait quelque chose à vendre, et de nombreuses bouches à nourrir, s’installait là et étalait ses richesses. C’était ce qu’on appellerait aujourd’hui un vide-grenier, mais permanent, prolixe et fascinant.
En ce temps-là, je travaillais à l’Opéra, qui donnait par derrière sur la place de la Lyre, et il suffisait de descendre pour gagner le marché de Chartres ; ou alors, face à l’imposant Opéra construit en 1853, s’ouvrait sur la droite l’artère nommée autrefois rue de Chartres, puis rue du docteur Charles-Aboulker, père fondateur de la plus illustre dynastie de médecins juifs d’Alger (dont le fils Marcel fit partie — aux côtés de l’autre Aboulker, José, fils de Henri Aboulker — du complot qui, en 1942, renversa en Algérie le régime de Vichy). Eh bien, c’est par Charles Aboulker qu’on accédait au marché de Chartres. Là s’ouvraient les sept merveilles de la brocante, ou, si l’on veut, la caverne d’Ali-Baba. C’est là que j’achetais mes disques, de vieux soixante-dix-huit tours qu’il fallait entendre sur cet ancien appareil à tête et aiguille qu’on appelait le phonographe. Je sais que j’avais acquis là de précieuses gravures : un enregistrement historique de Caruso, des interprétations de Paderewski, une Tosca de Giuseppe Lugo, Samson et Dalila chanté par José Luccioni, qui venait d’interpréter à l’Opéra de chez nous un mémorable Othello, bon, je ne vais pas tous les énumérer. Mais c’était en professionnel que j’acquérais ces « documents » sonores, car, voyez-vous, en ce temps-là je travaillais à l’Opéra, puisque je me voulais acteur et artiste.
C’est Sylvain, qui était manutentionnaire aux établissements Zabulon Sebban — dont papa, retraité des CFA (Chemins de Fer Algériens), assurait la comptabilité — et arrondissait ses fins de mois en assumant à l’Opéra la charge de chef des figurants, qui m’avait contacté. Sylvain, dont la célébrité reconnue venait de certaines initiatives, comme d’avoir fait monter sur scène, au 4ème acte de Carmen, un de ces bourriquots qui promenaient les enfants au square Bresson, en face du Théâtre Municipal, me fit donc l’honneur de me proposer de « figurer » sur scène quand l’horaire de mes études me le permettait : deux ans durant je fus figurant du jeudi et du dimanche, passant d’un chulo de corrida dans Carmen à un peloton d’exécution (réduit à un seul fantassin le jeudi) fusillant Mario au dernier acte de la Tosca, débarrassant les tables au cabaret de Rêve de valse, ou donnant le bras aux danseuses venues égayer le salon de Manon. Ah ! les danseuses, que n’ai-je eu la tête tournée par elle, chantonnant comme dans l’opérette de Francis Lopez : « Ça fait tourner la tête, mieux que tous les fandangos »… ! Que de rêves envolés ! que de plaisirs ravis !
Eh oui ! toutes mes richesse sont restées là-bas, les disques, les images, les effluves. Après mars 1962, où tout s’écroula, chacun gagna la mer et les nefs salvatrices avec juste un petit bagage. On se rappellera ce slogan de survie : « la valise ou le cercueil ». Et donc, pour presque tous, ce fut la valise. À quoi bon énumérer nos pertes ? le piano où je « massacrais » les mazurkas de Chopin, le violon avec lequel papa animait le bal dans ce temps si lointain du jeune couple à Berkane (au Maroc), les tableaux et les cartes que j’épinglais aux murs, la psyché où maman chaque matin contemplait sa beauté, tous les ouvrages hébraïques qui ne tenaient plus dans la malle, mon phonographe avec ses aiguilles de rechange, la bibliothèque aux nombreux dictionnaires, et les encyclopédies qui fondèrent notre savoir, et toute cette littérature française à jamais prisonnière des sables… En vérité, rien ne résiste au temps… sauf la mémoire.
Albert Bensoussan
Le cimetière de Saint Eugène
http://www.cimetiere-steugene.judaismealgerois.fr
Ce site présente l’état actuel (été 2009) du cimetière. Outre les sépultures de nos aïeux il renferme plusieurs stèles et tombeaux transférés des anciens cimetières d’Alger, en particulier les restes des deux illustres rabbins espagnols Ribach et Rachbats, refondateurs de la communauté juive d’Alger au XIVe siècle.
La mémoire de nos parents et la richesse des vestiges spirituels et historiques font de ce cimetière un lieu unique, mais sa dégradation est malheureusement continue : les intempéries, les mouvements de terrain et le vandalisme font disparaître chaque jour un peu plus les sépultures des Juifs d’Alger.
A l’interieur du site,est indiqué comment obtenir une copie des registres
du cimetière notamment pour la période de juin 1941 à mai 2001..
|
Quand cela est possible, il fournit presque toujours pour chaque inhumation :
-le prénom du père du défunt (ou de la défunte)
-le nom du mari dans le cas d’une défunte
-la classe des obsèques
-l’adresse du défunt
-la mention avec ou sans cercueil.
Il est possible aussi d'obtenir la copie d’une page de ce registre en envoyant une demande écrite au Cercle de Généalogie Juive, 45 rue La Bruyère – 75009 Paris, France en précisant un nom et une date (que vous trouverez par la recherche de sépultures) et en joignant un montant de 3 euros (2 euros si vous êtes adhérent au CGJ) par nom et date, avec minimum de 6 euros par envoi.
L'argent collecté, après déduction des frais de secrétariat, sera versé à une association pour la préservation du cimetière de Saint-Eugène.
Le cimetière de Saint Eugène
http://www.cimetiere-steugene.judaismealgerois.fr
Ce site présente l’état actuel (été 2009) du cimetière. Outre les sépultures de nos aïeux il renferme plusieurs stèles et tombeaux transférés des anciens cimetières d’Alger, en particulier les restes des deux illustres rabbins espagnols Ribach et Rachbats, refondateurs de la communauté juive d’Alger au XIVe siècle.
La mémoire de nos parents et la richesse des vestiges spirituels et historiques font de ce cimetière un lieu unique, mais sa dégradation est malheureusement continue : les intempéries, les mouvements de terrain et le vandalisme font disparaître chaque jour un peu plus les sépultures des Juifs d’Alger.
A l’interieur du site,est indiqué comment obtenir une copie des registres
du cimetière notamment pour la période de juin 1941 à mai 2001..
|
Quand cela est possible, il fournit presque toujours pour chaque inhumation :
-le prénom du père du défunt (ou de la défunte)
-le nom du mari dans le cas d’une défunte
-la classe des obsèques
-l’adresse du défunt
-la mention avec ou sans cercueil.
Il est possible aussi d'obtenir la copie d’une page de ce registre en envoyant une demande écrite au Cercle de Généalogie Juive, 45 rue La Bruyère – 75009 Paris, France en précisant un nom et une date (que vous trouverez par la recherche de sépultures) et en joignant un montant de 3 euros (2 euros si vous êtes adhérent au CGJ) par nom et date, avec minimum de 6 euros par envoi.
L'argent collecté, après déduction des frais de secrétariat, sera versé à une association pour la préservation du cimetière de Saint-Eugène.
mercredi 17 décembre 2008
mercredi 2 janvier 2008
Barbouche
Un« must » de la cuisine juive d’Alger
La recette est ici décomposée en 3 parties:
- Celle d’une forme de couscous donnant son nom au plat
- Puis celle de la « chkemba »
- Et enfin celle d’une classique loubia
Les proportions sont données pour 6 personnes
Les 3 plats sont présentés séparément ,chacun ajoutant en se servant dans son assiette un œuf dur coupé en deux et parfois des petites courgettes bouillies.
Le barbouche peut être accompagné de vin rouge corsé ou non selon son goût, d’anisette ou encore de bokha (alcool de figue tunisien) sortant du congélateur.
1BARBOUCHE
Temps :
4h50
Préparation :
4h00
Cuisson :
0h50
Ingrédients pour 6 personnes :
1 kg de couscous gros
100 g de menthe sauvage "Folio"
100 g de thym sauvage "Zaatar"
Huile d'arachide
Sel
Préparation :
Dans une casserole, la veille, mettez un litre et demi d'eau à bouillir. Dans un autre récipient, versez un tiers de la quantité totale de menthe et de thym mélangés. Versez dessus l'eau bouillante, couvrez et laissez infuser pendant une nuit. Le lendemain, récupérez l'eau de l'infusion en passant les herbes et en les jetant.
Mettez le couscous ans une grande bassine à fond plat, arrosez-le avec un demi litre de l'infusion d'herbes de façon à mouiller largement le grsin sans le baigner. Laissez reposer pendant une demie heure.
Pendant ce temps, mettez un autre tiers des herbes mélangées dans la marmite du couscoussier et remplissez-la aux 3/4 d'eau. Portez à ébullition.
Huilez la passoire du couscoussier. Huilez vos mains et séparez les grains du couscous en les roulant entre vos paumes, puis mettez le couscous dans la passoire du couscoussier et, à l'aide du manche d'une cuillère en bois, formées des cheminées dans le grain. Laissez cuire pendant 45 minutes à feu vif non couvert.
Remettez le couscous dans la bassine et arrosez-le de 3 louches de l'infusion, salez et ajoutez 2 cuillères à soupe d'huile, mélangez et laissez reposer un quart d'heure.
Sans huiler la passoire, remettez le couscous, refaites des cheminées dans le grain et laissez cuire à partir de l'ébullition sans couvrir pendant 20 minutes. Remettez encore une fois le couscous dans la bassine en ajoutant une louche d'infusion et laissez reposer.
Pendant ce temps, préparez 50 g d'herbes mélangées et passez-les au tamis en retirant les tiges. Ajoutez-les au couscous en séparant les grains avec les mains.
Au moment de servir, remettez le couscous dans la passoire et chauffez-le en faisant attention que l'eau de la marmite soit à ébullition pendant 10 minutes. Mettez le couscous dans un grand plat et arrosez de la sauce.
2 CHKEMBEY
Ingrédients pour 6 personnes :
1.5 kg de panse de boeuf (gras-double)
1/2 pied de veau
1 cuillerée à soupe de piment doux
2 piments de Cayenne
Sel, poivre
4 gousses d'ail
1 cuillerée à café de cumin en poudre
1 cuillerée à soupe de coriandre en poudre
1 bouquet de coriandre fraîche
1 dl d'huile
Thym, laurier
Préparation :
Coupez le gras-double en petits dés de 2 cm environ. Mettez-les dans une cocotte. Ajoutez l'huile, le piment doux, les deux piments de Cayenne, l'ail épluché et râpé, le cumin, la coriandre en poudre, le thym et le laurier et le pied de veau. Recouvrez le tout d'eau et poivrez, ne salez pas.
Couvrez et laissez cuire à feu doux pendant 3 heures. Remuez de temps en temps pour que cela ne colle pas, ajoutez au besoin de l'eau chaude en petite quantité, au cours de la cuisson.
Quinze minutes avant la fin de la cuisson, ajoutez la coriandre fraîche hachée, salez et laissez réduire la sauce, au besoin, en découvrant la cocotte.
3 LOUBIA
Ingrédients pour 6 personnes :
1/2 kg de haricots blancs dit lingots secs
1 pied-de-veau coupé en 2
200 g de jarret de boeuf
1 tête d'ail non épluchée
1 cuillerée à soupe de piment doux
1 pincée de poivre en poudre
1 pincée de piment de Cayenne
1/2 verre d'huile
2 cuillerées à café de cumin en poudre
3 clous de girofle
2 cuillerées à café de cumin en grains
Sel
Préparation :
Trempez les haricots pendant 1 heure et demie dans de l'eau froide.
Mettez l'huile au fond d'une cocotte, ajoutez la viande de boeuf et le pied-de-veau, l'ail non épluché, le piment doux, le poivre, le piment de Cayenne, le cumin et poudre, les clous de girofle et salez.
Ajoutez les haricots égouttés et recouvrez le tout d'eau froide. Lorsque l'eau est à ébullition, laissez cuire à feu moyen pendant 1 heure et demie en couvrant. Vérifiez le sel et ajoutez-en au besoin. Laissez encore cuire à feu doux pendant 1 heure à couvert toujours. Cinq minutes avant la fin de la cuisson ajoutez le cumin en grains.